vendredi 28 octobre 2011

Ma prose poétique octobre 2011

REFRAIN
Servir et se dessaisir ou saisir et se desservir. Devrai-je chanter un hymne à la démocratie et à l’alternance, et j’en ferrai le refrain. Homme, le pouvoir tu saisiras et ton peuple tu serviras. Quand le pouvoir t’aura rendu service comprends bien que c’est au peuple de s’en saisir. La tentation est grande, je dis bien forte ; quand on saisit pour soi et sert pour soi. A soi tout se résume et l’oubli de l’autre soi-même fait foi, avec force de loi. L’espace conquis, le temps ne compte plus ; tout comme les autres d’ailleurs.

POUVOIR A – VIE – DE …
Mon cœur a tant mal à voir les choses aller si mal. Ceux commis à l’édification des nations manquent à leur vocation dès lors que les acclamations fusent et ils refusent leur sort et leur mort pourtant un jour certaine. Notre tort en tresseurs de lauriers est de faire la place au Panthéon pour des vivants mortels, alors que le devoir nous commande d’immortaliser en ces lieux des morts hors du commun.

Pour ceux qui savent
Pour ceux qui savent qu’ils n’ont ni de Zeus ou Jupiter une ascendance, qui comprennent que promis par la vox populi, le destin est bien lourd tout comme l’honneur est si grand de porter vers des hauteurs une nation qui rampe avec ses enfants débout, ils savent qu’ils n’ont de descendance avérée que ce peuple.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci pour avoir pris de votre temps pour ajouter un commentaire!