Par ce novembre de fraîche matinée
Bamako couve dans son nid de vallée
Les frondeurs de la nuit se sont à peine prélassés
Que le Djoliba reste étroitement enlacé
Dans des bras encore sommeilleux
Il coule à peine dans son lit tortueux
Ses draps de fumée de poussière si brumeux
Flottent comme un brouillard dans l’air
Du sommet des collines ce voile est à défaire
Ici le Savoir là le Pouvoir
tous deux sont célèbres
Pour nous faire
vivre de nouveaux palabres.
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